Cliquez ici >>> ⛳ les signes de l appel de dieu

Ilse peut très bien que ce soit la miséricorde de Dieu qui le protège de douleurs, chagrins et échecs potentiels. Cet appel externe s’étend au-delà du ministère à d’autres Le18 octobre, le premier livre de Mgr André Vingt-Trois en tant qu'archevêque de Paris, Les Signes que Dieu nous donne, sortira aux éditions Parole et Silence. Nous vous en proposons des Lappel de Dieu change la vie de celui qui obéit Eglise pentecôtiste de Sarrebourg. Source de l'image: Genèse 12: 1-7: "L'Eternel dit à Abram: Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai; je rendrai ton nom grand, et tu seras une 2Corinthiens 6 :2b (LSG) « Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. ». Il est impossible de faire les choses de Dieu sans Dieu. Quelque chose de vraiment particulier que je remarque dans les différents passages qui symbolisent l’appel du Seigneur dans la vie de tel ou tel serviteur, c’est l’actualisation. Dieuparle par nos désirs, par les désirs qui montent en nous. Il fait connaître sa volonté de cette manière. L’appel au ministère de prêtre peut se manifester par exemple par un désir de Rencontre Femme Marocaine Ile De France. 7 signes de la présence puissante de Dieu. By Makko Musagara Bien que Dieu soit partout, il y a des moments où sa présence est extraordinaire. Ci-dessous, je donne 7 signes de la puissante présence de Dieu. 1, Vous pouvez voir un feu céleste visible. Moïse a vu ce feu dans le buisson ardent. Le même feu est apparu sur les apôtres de Jésus-Christ le jour de la Pentecôte Actes 2 3 Moïse faisait paître les brebis de son beau-père Jéthro, prêtre de Madian. Il mena son troupeau au-delà du désert et parvint jusqu’à Horeb, la montagne de Dieu[a]. 2 L’ange de l’Eternel[b] lui apparut dans une flamme au milieu d’un buisson Moïse aperçut un buisson qui était tout embrasé et qui, pourtant, ne se consumait pas. 3 Il se dit alors Je vais faire un détour pour aller regarder ce phénomène extraordinaire et voir pourquoi le buisson ne se consume pas. 4 L’Eternel vit que Moïse faisait un détour pour aller voir et il l’appela du milieu du buisson Moïse, Moïse ! – Je suis là, répondit Moïse. » Exode 3 1-4 2. Vous pouvez ressentir un feu invisible qui, en fait, est la présence du Saint-Esprit. Les chrétiens ordinaires remplis de feu peuvent faire toute la différence, ouvrant la porte à d’autres pour entrer dans l’aventure de vie remplie de l’Esprit dans le Royaume du Christ. 3. La guérison surnaturelle peut être un signe de la présence spéciale de Dieu. 4. D’autres miracles surnaturels peuvent être un signe de la présence de Dieu. Poussière d’or 5. Vous pouvez tomber sous la puissance de Dieu. “Je suis tombé à terre et j’ai entendu une voix qui me demandait Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? » Je me suis écrié ’ Actes 22 7 6. Vous pouvez voir des visions surnaturelles. »A ces mots, ceux qui siégeaient au Grand-Conseil devinrent fous de rage ils grinçaient des dents contre Etienne. 55 Mais lui, rempli du Saint-Esprit, leva les yeux au ciel et vit la gloire de Dieu, et Jésus debout à la droite de Dieu. Alors, il s’écria 56 Ecoutez je vois le ciel ouvert et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. » Actes 7 54-56 7. Vous pouvez voir dans le monde surnaturel qui vous entoure. Nous regardons déjà vers Noël, vers cet événement incroyable qui va s’accomplir à Bethléem le fils du Dieu vivant va devenir l’un d’entre nous pour tout partager de notre humanité, de sa naissance à sa mort et à sa résurrection. Il est l’Emmanuel, Dieu avec nous, pour toujours. Quelle nouvelle étonnante !Mais nous participons aussi aujourd’hui à un autre événement des jeunes de chez vous vont franchir un grand pas, ou un grand seuil dans leur existence, en se laissant marquer du signe de l’Esprit Saint, par le sacrement de rapport entre l’événement de Noël et l’événement de cette confirmation ? Un rapport très réel, mais qui peut nous surprendre c’est que les signes du Dieu vivant passent par notre humanité, et cette réalité, cette révélation bouleverse nos idées préconçues de Dieu, nous l’imaginons souvent à partir de nous-mêmes, soit pour l’idolâtrer en en faisant une puissance supérieure et lointaine, soit pour le redouter, en pensant qu’il est le témoin implacable de nos le Dieu vivant, le Dieu dont le Fils est cet enfant nommé Jésus et dont l’Esprit est fait pour animer nos vies, n’est pas du tout à notre image. Le plus beau, c’est son humilité. Il ne vient pas s’imposer par la force. Il sera un enfant et un homme désarmé, exposé à tous ceux qui l’accusent d’être un les signes qu’il nous donne passent par notre humanité, et par des événements de naissance, comme l’Évangile aujourd’hui nous le raconte. Voici deux femmes enceintes qui peuvent témoigner du travail de Dieu en elles la première est âgée et elle était stérile, elle s’appelle Élizabeth, et voici qu’elle est appelée à devenir mère et que son fils, qui sera nommé Jean, va précéder Jésus par sa naissance, avant de préparer ses chemins en de Nazareth, elle, est enceinte de Jésus, et elle va visiter Élizabeth. Alors les signes parlent, et les signes, ce sont ces mères et ces enfants, qu’elles portent en elles. Comme si la reconnaissance du travail de Dieu passait par les corps humains. L’enfant qui tressaille dans le ventre d’Élizabeth - et les femmes qui deviennent mères savent bien que leur enfant est un être vivant, et parfois remuant, bien avant sa naissance -, cet enfant accomplit déjà sa mission à travers sa mère, il reconnaît celui que Marie porte en elle, le Fils du Dieu que l’Évangile est un haut lieu d’humanité. Il révèle le travail de Dieu en ces deux femmes qui vont enfanter. C’est donc que le Père créateur donne toute son importance à notre chair, à notre vie, pour que notre chair et notre vie soient bien plus que des réalités biologiques, soient comme des lieux dans lesquels vient habiter la vie de Dieu. Car Dieu est toujours du côté de ce qui naît, de ce qui prend forme, de ce qui s’ouvre à l’ n’ai pas maintenant d’effort à faire pour rapprocher le sacrement de confirmation de ces réalités de naissance et de croissance. C’est le même Esprit Saint qui vient agir en ceux et celles qui désirent le recevoir ils s’appellent Antoine, Jean-Robert, Élyse, Agnès, Vincent, Marie-Flore, Romain, François et Logan. Ils sont de vos familles. Ils sont pareils à tous les jeunes très conscients que nous vivons tous dans un monde incertain et pourtant, j’ai reconnu en eux et en elles autre chose un très grand besoin de confiance en eux-mêmes et aussi la certitude d’avancer sur la route d’une vie où le Dieu vivant aura sa les remercie pour leur engagement, et, en même temps, je vous avertis. L’un d’entre eux a écrit ceci La confirmation me permettra de réaliser que l’Église est une grande famille qui a besoin de moi. »Oui, c’est vrai. Et quand on dit famille », il faut être clair et honnête. Cela ne veut pas dire que nous serions parfaits. Cela veut dire que nous sommes liés les uns aux autres dans cet ensemble vivant que nous appelons le Corps du Christ ou l’Église. Liés les uns aux autres, non pas pour former un bloc replié sur lui-même, mais liés les uns aux autres pour être, au milieu du monde, les signes de l’Alliance et de la miséricorde de Dieu, de Dieu qui ne cesse pas d’agir en nous, si nous l’ ces jeunes, qui franchissent aujourd’hui un seuil, je vous demande ici, à Montbron et à La Rochefoucauld, et dans tout ce doyenné, de laisser le Dieu vivant passer par vous, par nous, pour devenir des signes de sa vie, la vie de Dieu qui, ici même, à travers nos corps, fait naître et renaître son Église.+ Claude DAGENS Mes chers frères et sœurs, c’est un grand honneur pour moi de me tenir devant vous aujourd’hui. Je me joins à ceux qui ont déjà pris la parole lors de cette conférence pour vous témoigner que Jésus-Christ vit. Il dirige son Église, il parle à son prophète, le président Nelson, et il aime tous les enfants de notre Père céleste. En ce dimanche de Pâques, nous commémorons la résurrection de Jésus-Christ, notre Sauveur et Rédempteur1, le Dieu puissant, le Prince de la paix2. Son expiation, dont sa résurrection après trois jours dans un tombeau d’emprunt est le point culminant, demeure le plus grand miracle de toute l’histoire de l’humanité. Il a déclaré Car voici, je suis Dieu ; et je suis un Dieu de miracles3. » Dans le Livre de Mormon, le prophète Mormon demande Les miracles ont-ils cessé parce que le Christ est monté au ciel et s’est assis à la droite de Dieu4. » Il répond Non ; et les anges n’ont pas cessé non plus de servir les enfants des hommes5. » Après la crucifixion, un ange du Seigneur est apparu à Marie et à quelques autres femmes qui s’étaient rendues au tombeau pour oindre le corps de Jésus. L’ange dit Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant6 ? Il n’est point ici ; il est ressuscité7. » Le prophète Abinadi, dans le Livre de Mormon, a proclamé ce miracle Si le Christ n’était pas ressuscité d’entre les morts, […] il n’aurait pu y avoir de résurrection. Mais il y a une résurrection ; c’est pourquoi la tombe n’a pas de victoire, et l’aiguillon de la mort est englouti dans le Christ8. » Les œuvres miraculeuses de Jésus-Christ ont conduit les premiers disciples à s’exclamer Quel est donc celui-ci, qui commande même au vent et à l’eau, et à qui ils obéissent9 ? » En suivant Jésus-Christ et en l’écoutant prêcher l’Évangile, les premiers apôtres ont assisté à de nombreux miracles. Ils ont témoigné Les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres10. » Les miracles, les signes et les prodiges abondent parmi les disciples de Jésus-Christ de nos jours, dans votre vie et dans la mienne. Les miracles sont des actes divins, des manifestations et des expressions du pouvoir infini de Dieu, et une confirmation qu’il est le même hier, aujourd’hui et à jamais11 ». Jésus-Christ qui a créé les mers peut les apaiser ; lui qui a donné la vue aux aveugles peut tourner notre attention vers les cieux ; lui qui a purifié les lépreux peut se charger de nos infirmités ; lui qui a guéri l’homme boiteux peut nous appeler à nous lever en disant Viens et suis-moi12. » Beaucoup d’entre vous ont été témoins de miracles, plus que vous ne le croyez. Ils peuvent paraître modestes comparés à Jésus ramenant les morts à la vie. Mais un miracle ne se définit pas par son ampleur, mais seulement par le fait qu’il vient de Dieu. Certaines personnes insinuent que les miracles ne sont que des simples coïncidences ou de la chance pure. Mais le prophète Néphi a condamné les personnes qui dédaignent la puissance et les miracles de Dieu, et se félicitent entre eux de leur sagesse et de leur science, afin d’obtenir du gain et d’écraser la face des pauvres13 ». Les miracles se produisent par l’intervention divine de celui qui a le pouvoir de délivrer14 ». Les miracles sont un prolongement du plan éternel de Dieu, ils sont un lien vital entre la terre et les cieux. L’automne dernier, sœur Rasband et moi nous sommes rendus à Goshen, en Utah, pour une émission Face-à-Face mondiale diffusée à plus de 600 000 personnes dans seize langues différentes16. Cette émission devait se concentrer sur les événements du Rétablissement de l’Évangile de Jésus-Christ, avec des questions posées par des jeunes adultes du monde entier. Sœur Rasband et moi avions personnellement relu les questions, qui nous ont permis de témoigner de l’appel de prophète de Joseph Smith, du pouvoir de la révélation dans notre vie, du processus continu qu’est le rétablissement de l’Évangile, et des vérités et des commandements que nous chérissons. Un grand nombre de personnes qui écoutent aujourd’hui ont suivi cette émission miraculeuse. Initialement, l’émission devait être diffusée depuis le Bosquet sacré dans l’État de New York, où Joseph Smith a témoigné Je vis deux Personnages dont l’éclat et la gloire défient toute description, et qui se tenaient au-dessus de moi dans les airs. L’un d’eux me parla, m’appelant par mon nom et dit, en me montrant l’autre Celui-ci est mon fils bien-aimé. Écoute-le16 ! Frères et sœurs, çà c’était un miracle. La pandémie mondiale nous a obligés à déplacer l’émission à Goshen, en Utah, où l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours a reconstitué une partie de l’ancienne ville de Jérusalem pour en faire un lieu de tournage. Ce dimanche soir là, sœur Rasband et moi nous trouvions à quelques kilomètres de Goshen quand nous avons vu une épaisse fumée venant de l’endroit où nous devions nous rendre. Des feux de forêt embrasaient les alentours et nous nous inquiétions pour l’émission. En effet, vingt minutes avant le début de la diffusion, une panne de courant s’est produite dans toute l’installation. Pas d’électricité ! Pas de diffusion. Certaines personnes suggérèrent d’utiliser un générateur, mais il était impossible de savoir s’il pourrait alimenter tous les équipements complexes dont nous avions besoin. Tous les participants au programme, y compris les narrateurs, les musiciens, les techniciens et même vingt jeunes adultes de ma propre famille élargie, étaient pleinement investis dans ce qui devait avoir lieu. Je me suis éloigné de leurs pleurs et de leur confusion pour supplier le Seigneur qu’un miracle se produise. J’ai prié Père céleste, j’ai rarement demandé un miracle, mais je t’en demande un maintenant. Cette réunion doit avoir lieu pour tous nos jeunes adultes dans le monde entier. Nous avons besoin que l’électricité revienne pour continuer, si c’est ta volonté. » À dix-huit heures et sept minutes, l’électricité est revenue aussi rapidement que la panne était survenue. Tout s’est remis à fonctionner, la musique, les micros, les vidéos et tout l’équipement de diffusion. Nous étions lancés. Nous venions d’assister à un miracle. Sur la route du retour, dans la soirée, sœur Rasband et moi avons reçu un SMS du président Nelson et de son épouse qui disait Ron, nous voulons que tu saches que dès que nous avons su qu’il y avait une panne d’électricité, nous avons prié pour qu’un miracle se produise. » Dans les Écritures modernes, il est écrit Car moi, le Seigneur, j’ai avancé la main pour mettre en branle les puissances du ciel ; vous ne pouvez pas le voir maintenant ; encore un peu de temps et vous le verrez et saurez que je suis et que je viendrai régner avec mon peuple17. » C’est exactement ce qu’il s’est passé. Le Seigneur a étendu la main et l’électricité est revenue. Comme nous l’a si puissamment enseigné le président Nelson lors de la session précédente, les miracles se produisent par le pouvoir de la foi. Le prophète Moroni a exhorté son peuple Car s’il n’y a pas de foi parmi les enfants des hommes, Dieu ne peut faire aucun miracle parmi eux ; c’est pourquoi, il ne s’est montré qu’après leur foi. » Il poursuit Voici, c’est la foi d’Alma et d’Amulek qui fit s’écrouler la prison. Voici, c’est la foi de Néphi et de Léhi qui produisit le changement chez les Lamanites, de sorte qu’ils furent baptisés de feu et du Saint-Esprit. Voici, c’est la foi d’Ammon et de ses frères qui accomplit un si grand miracle parmi les Lamanites […] Et jamais personne, à aucun moment, n’a accompli de miracles si ce n’est après avoir eu la foi ; c’est pourquoi, ils ont tout d’abord cru au Fils de Dieu18. » À ces Écritures, je pourrais ajouter C’est la grande foi des jeunes adultes participants, des professionnels de la diffusion, des dirigeants et des membres de l’Église, d’un apôtre et d’un prophète de Dieu qui a conduit à demander un si grand miracle que le courant est revenu dans un lieu de tournage isolé à Goshen, en Utah. » Les miracles viennent parfois en réponse à nos prières. Ils ne correspondent pas toujours à ce que nous demandons ni à ce à quoi nous nous attendons, mais quand nous faisons confiance au Seigneur, il est là et il fait le nécessaire. Il fera en sorte que le miracle se produise au moment où nous en avons besoin. Le Seigneur accomplit des miracles pour nous rappeler qu’il est tout-puissant, qu’il nous aime, que, depuis les cieux, il se soucie de notre vie et qu’il a le désir de nous enseigner ce qui a le plus de valeur. En 1831, il a fait aux saints une promesse qui est tout aussi valable aujourd’hui Celui qui a foi en moi pour être guéri, et dont la mort n’est pas arrêtée, sera guéri19. » Il existe des lois décrétées dans les cieux, auxquelles nous sommes toujours assujettis. Parfois, nous désirons un miracle pour guérir un être cher, annuler un acte injuste ou adoucir le cœur d’une âme amère ou désabusée. Quand nous regardons les choses avec nos yeux mortels, nous voulons que le Seigneur intervienne, qu’il répare ce qui est cassé. Par la foi, le miracle se produira, mais pas nécessairement selon notre calendrier ou de la manière dont nous le souhaitons. Cela signifie-t-il que nous sommes moins fidèles ou que nous ne méritons pas son intervention ? Non. Le Seigneur nous aime. Il a donné sa vie pour nous, et son expiation continue de nous affranchir des fardeaux et du péché si nous nous repentons et nous rapprochons de lui. Le Seigneur nous a rappelé Et vos voies ne sont pas mes voies20. » Il a dit Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos21. »Reposez-vous des inquiétudes, des déceptions, de la peur, de la désobéissance, de la préoccupation pour vos êtres chers et des rêves perdus ou brisés. Trouver la paix au milieu de la confusion ou du chagrin est un miracle. Souvenez-vous des paroles du Seigneur N’ai-je pas apaisé ton esprit à ce sujet ? Quel témoignage plus grand peux-tu avoir que celui de Dieu22 ? » Le miracle est que Jésus-Christ, le grand Jéhovah, le Fils du Très-Haut, nous offre sa paix. De la même manière qu’il est apparu à Marie dans le jardin, l’appelant par son nom, il nous appelle à exercer notre foi. Marie voulait le servir et s’occuper de lui. Sa résurrection n’était pas ce à quoi elle s’attendait, mais cela devait se produire en accord avec le grand plan du bonheur. La foule de non-croyants au Calvaire l’a raillé en lui criant Descends de la croix23 ! » Il aurait pu accomplir un tel miracle. Mais il connaissait la fin depuis le commencement, et il avait l’intention d’être fidèle au plan de son Père. Ne manquons pas l’occasion de tirer les leçons de cet exemple. S’adressant à nous dans nos épreuves, il a dit Voyez les plaies qui ont percé mon côté et aussi les marques des clous dans mes mains et mes pieds. Soyez fidèles, gardez mes commandements, et vous hériterez le royaume des cieux24. » Voilà, mes frères et sœurs, le miracle qu’il nous a promis à tous. En ce dimanche de Pâques, tandis que nous célébrons le miracle de la résurrection de notre Seigneur, en ma qualité d’apôtre de Jésus-Christ, je prie humblement pour que vous ressentiez le pouvoir du Rédempteur dans votre vie et que notre Père céleste réponde à vos supplications avec l’amour et l’engagement dont Jésus-Christ a fait preuve pendant son ministère. Je prie afin que vous restiez fermes et fidèles dans tout ce qui arrivera et je prie pour que viviez des miracles comme nous en avons vécu à Goshen, si c’est la volonté du Seigneur. Recherchez ces bénédictions du ciel dans votre vie en recherch[ant] ce Jésus sur qui les prophètes et les apôtres ont écrit, afin que la grâce de Dieu le Père et aussi du Seigneur Jésus-Christ, et le Saint-Esprit, qui témoigne d’eux, soient et demeurent en vous à jamais25 ». Au nom de Jésus-Christ. Amen. Que veux dire pour vous un appel de Dieu? Quelle forme de vocation? La vie religieuse, la prêtrise, le célibat, le mariage, la vie missionnaire, etc… Quand on demande un signe à Dieu, comment à votre avis, répond-il? Dieu parfois ne répond pas sous la forme qu’on pense. Pour entendre l’appel Dieu habite déjà notre cœur mais les » bruits du monde » dérangent notre âme et paralysent notre écoute intérieur, surtout notre capacité de s’intérioriser pour trouver Dieu dans notre profondeur intérieure. Les » bruits du monde » = la musique style walkman, la télévision, il nous faut absolument du bruit. Ça veut pas dire que tout n’est pas bon, mais simplement qu’il faut prendre des temps de silence. Nous aurons besoin de l’aide d’un accompagnateur ou d’un guide spirituel, et ils doivent le faire de manière à respecter notre liberté. Sûrement que dans votre vie vous vous êtes demandé la fameuse question POURQUOI ?, pourquoi Dieu, pourquoi moi, pourquoi la vie, pourquoi la mort, pourquoi j’existe, pourquoi… etc… C’est tout à fait normal qu’on se pose cette question, ça fait partie de notre côté humain. Il ne faut pas chercher les réponses à nos questions en demandant à Dieu ou a quelconque esprit PAR la magie, la divination ou d’un quelconque recours à des forces occultes. On pose les questions à Dieu de façon très simple. Comme un enfant qui questionne son père. Vous remarquerez que l’enfant le fait avec confiance et patience. Il y a deux genre ou 2 types de questions Les pourquoi terre à terre »Il y a des millions de pourquoi qui touchent tous les domaine de notre vie humaine ce sont des questions très terre à terre, des questions auxquelles il est facile de répondre, on peux par nous même trouver les réponses car elles sont facile à trouver, elles sont à notre portée. Ex Lorsque le scientifique Newton a observé la chûte d’une pomme, il s’est posée la question pourquoi est-elle tombée vers le sol ?.. et c’est ainsi qu’après longue réflexion a été donnée la réponse contenue dans la théorie sur la pesanteur et la gravité. Les pourquoi qui nous dépassent Les questions comme Qui suis-je? Pourquoi est-ce que j’existe? Pourquoi la souffrance ou le mal? Qu’est ma mort? etc. Ces questions touchent le sens de notre vie. La réponse de ces pourquoi ne sont pas faciles à trouver mais Dieu a des réponses à nous donner. Il existe 3 façons ou 3 manières de répondre à l’appel de Dieu Le premier mode de réponse est la fuiteJe n’ai pas le temps de m’occuper de cela…, j’ai bien assez à faire… Dans le fond c’est fuir l’appel, on ne veut pas l’entendre, on s’arrange pour être trop occupé. Avoir une vie remplie ne signifie pas forcément qu’on lui donne un sens. Le désespoir est une fuite c’est facile de dire, je suis déprimé donc l’appel n’est pas pour moi. Ce laisser aller au désespoir est une forme de suicide face à la vie, la qualité de la vie, on meurt à petit feu c’est comme baisser les bras avant même d’essayer d’écouter son appel. Le second mode de réponse est l’investissement dans une valeur humaineLes valeurs morales, humaines ou personnelles sont excellentes pour l’équilibre du monde et de la personne. Mais dire qu’on répond à l’appel de Dieu en travaillant seulement pour des valeurs morales, ex la justice, la paix, la famille, n’est pas le but principale d’une réponse à Dieu. Parfois notre travail est tellement axé sur des valeurs morales que ça devient notre propre petit dieu. On s’imagine pourtant avoir répondu à l’appel de Dieu. Une troisième manière de répondre consiste en une ouverture à que notre vie dépend de Dieu car c’est lui qui nous donne la vie. En plus Dieu nous regarde, il regarde ce que nous faisons, tout comme une mère qui regarde son nouveau-né, même il nous regarde comme un ami. Pour cela il faut la foi. En partant pour vouloir être à l’écoute de Dieu, cela suppose qu’on a déjà la foi. On croit que Dieu existe et acceptons Jésus-Christ dans notre vie. De là, la grâce a commencé à travailler en moi et a mis dans mon cœur un désir de le suivre, de le servir et de l’aimer. Comment je me situe face à Lui? Comment est-ce que je L’accueille? Comment est-ce que je gère » ma relation à Lui, dans le cadre de mon appel? Soit que je décide par moi-même de donner un sens à ma vie, sous le regard de Dieu. Je crois sincèrement en Dieu et je sais dans le fond de mon cœur qu’il m’appelle et de moi-même je prend la décision. Ça peut être un différent appel, le mariage, la vie religieuse, le célibat etc.Je le fais dans la foi, au meilleur de ma connaissance pour la Gloire de Dieu et le service de l’Église. Ou bien je laisse Dieu me faire voir son appel et je peux être surpris. J’ouvre mon cœur pour accueillir ce qu’il veut me dire et non pas ce que je pense qu’il veut me laisser Dieu me faire voir son appel, il va falloir que je sois très patient pour laisser grandir en moi son désir que j’accueille sa volonté. En fait, c’est après réflexion que je réalise ce qui m’ attitude est préférée de Dieu car elle lui laisse la liberté de me parler comme Il parle à un ami. Tant et aussi longtemps que je me donnerai moi-même mon propre appel ou tant que je fuierai l’appel qui vient de Dieu, j’aurai de l’insatisfaction dans mon cœur, j’aurai l’impression ou le sentiment de n’être pas rendu à la vraie lumière et à ce que je suis réellement. Un sentiment de vide. Ce qu’il convient de comprendre avant tout, c’est que Dieu espère déjà de moi ce que j’ignore peut-être encore. Et s’il l’espère, c’est qu’il m’a déjà donné la grâce et la force nécessaire pour l’accomplir. Appel Biblique Le Seigneur dit à Abram quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père pour le pays que je t’indiquerai. Je ferai de toi un grand peuple, je te bénirai, je magnifierai ton nom sois une bénédiction! » Abram = Abraham parce qu’Abram devient un autre homme, non pas une autre créature, mais une créature avec qui Il fait alliance et habite totalement. Quand on prend la décision de suivre le Seigneur, de quitter…quelque chose ou quelqu’un ou les deux, ça peut se faire par étape ou bien seulement dans certains domaines de notre vie. Tout appel comporte une action de » quitter… Le but de son voyage », ou de son aventure avec Dieu. » Quitte.. pour le pays que je t’indiquerai » que je t’indiquerai plus tardAbraham parti sans savoir où il allait. Le Seigneur nous fait pressentir quelque chose, mais on ne sait pas tout d’avance. La promesse. » je ferai de toi un grand peuple, je te bénirai, je magnifierai ton nom… »Il ne demande jamais à une personne de tout quitter.. pour rien. Dieu voit grand pour nous et il désire toujours donner en n’y a qu’une chose qui, malheureusement, empêche le Seigneur d’aller jusqu’au bout de la réalisation de ses promesses à notre égard notre manque de confiance et d’audace. Les peurs La peur de s’approcher de Dieu… de se laisser approcher par lui. Fausse image Dieu serait celui qui oblige la personne je dois faire ceci, choisir tel chemin parce que Dieu m’y contraint, et que je ne discute pas avec un pareil » Dieu tient toujours compte de notre liberté personnelle . Il existe une autre image de Dieu, moins épeurante, mais tout aussi fausse celle d’un bon vieillard, plus que permissif, qui fermerait les yeux sur tout ce que ferait la personne de négatif sous prétexte d’aimer… Ces fausses images de Dieu peuvent expliquer une certaine indifférence à l’égard de Dieu. La peur de DieuOn a peur d’approcher Dieu souvent à cause de certaines blessures. C’est une peur normale pour tout le monde, par contre ça n’empêche pas Dieu de nous répondre à un appel et suivre le Christ, ça demande une relation vraie avec Dieu. Le péché ne nous empêche pas de nous approcher du Seigneur si on prend le temps de se remettre à sa Miséricorde son pardon. La peur de Dieu, par contre, nous fait rester loin de lui. Discerner les peurs Prendre conscience de ces peurs de cette façon nous pourrons permettre au Seigneur de nous approcher et de diminuer nos peur. Les accepter et surtout donner la chance au Seigneur de guérir nos blessures qui sont la cause de nos peurs. Il faut être patient car ça peut prendre des années avant que nos peurs disparaissent. La meilleure façon, c’est de les présenter au cœur de Jésus. Les peurs spécifiques de l’appelNous avons surtout peur de ce que nous croyons, que Dieu s’attend de nous. De ce qu’il pourrait nous demander. La peur de n’être pas heureuxC’est très normal car nous désirons tous être heureux. Mais posons nous la question quelle est notre conception du bonheur? Qu’est-ce que ça veut vraiment dire le bonheur?Le saint Curé d’Ars nous répliquait tout de go Le seul bonheur en ce monde est d’aimer le Seigneur et de savoir qu’il nous aime ». Disons qu’on se dit J’ai envie de me marier, mais j’ai peur qu’en suivant le Seigneur, il me demande d’y renoncer…donc, je préfère ne pas lui poser la question! Ça nous ressemble n’est-ce pas? Notre Seigneur n’est jamais » sadique » et son grand désir est de nous attirer dans sa propre joie qui deviendra ainsi la nôtre…par divers chemins et sous diverses formes. Tout appel ouvre à la joie. Dieu ne refuse pas les joies naturelles comme celle de se réjouir entre amis, de marcher dans la nature ou de s’émerveiller devant un bébé. Au contraire, seuls ceux qui sont capables de joie naturelle, peuvent goûter la joie spirituelle… La peur de perdre sa libertéLorsqu’on répond à l’appel de Dieu, il sera celui qui dirigera notre vie, si on le laisse faire comme de raison, parce qu’on reste toujours libre. Notre vie ne sera plus la même parce qu’on aura pris librement la décision de la changer pour le mieux parce qu’on est maintenant à l’écoute de Dieu. On garde toujours notre liberté de pensée et d’action. La peur de se tromper de routeOui on peut se tromper, c’est pour ça que c’est important d’être soutenu par un conseiller, un guide, un accompagnateur, des personnes en qui on a confiance et qui veulent aussi suivre la volonté de ne serons jamais entièrement certain avant de nous engager complètement. Par exemple souvent avant un mariage, on entend des personnes dire qu’elles hésitent, elles ne sont plus certaines, ne veulent plus se marier pas toujours. Il y aura toujours un saut, un pas dans la foi. Gardons confiance en Dieu. Dans la mesure où nous sommes vrais devant lui, désirant réellement découvrir sa volonté d’amour sur notre vie, et prenant les moyens pour cela, Dieu ne permettra pas que nous fassions fausse route. Et même si, on ne répondait pas à l’appel de Dieu plus ou moins volontairement et que nous ayons pris un autre chemin, le Seigneur ne nous abandonneras pas pour autant. Il restera quand même avec nous. La peur de manquerPeur de manquer de loisirs, d’argent, de distractions, etc.. Il y a des peurs plus profondes » manquer d’affection, de tendresse… Dieu connaît nos véritables besoins et il les comble toujours. La peur qu’il nous soit trop demandéCelle-ci est fréquemment lié à notre imagination qui nous fait anticiper – en les déformant, des épreuves futures. Or, ce que nous vivons dans le moment présent peut toujours être assumé. Dieu veut nous apprendre à vivre au jour le jour, nous qui sommes trop souvent plongés dans le passé ou dans le futur. les grâces actuellesDieu ne permettra jamais que nous vivions des événements au delà de nos forces. Pour un discernement de notre vocation Le Seigneur n’appelle jamais de la même façon, car c’est personnel à chacun. l’urgence des tempsDieu semble appeler aujourd’hui plus qu’hier. Des vocations de plus en plus nombreuses surgissent maintenant ex marie jeunesse, les béatitudes, la famille Myriam, La communauté de l’AllianceDes grâces réservées auparavant à des personnes fort avancées dans la vie spirituelle ou mystique sont parfois accordées à des jeunes convertis la période-basculeIl s’agit d’une prise de conscience Je réalise que ma vie ne me satisfait plus. Même si j’ai une vie qui porte fruit pour Dieu, C’est comme-ci j’avais besoin de plus. Dans le fond ça veut tout simplement dire que le Seigneur désire prendre plus de place dans ma vie avec le Christ n’est pas comme un concours qu’il faut réussir et une fois réussi, tout est fini et classé! Au contraire, plus je trouve Dieu en répondant à son appel, plus je désire aller loin avec lui. Il ne faut pas trop vite conclure à une période-bascule lorsqu’elle semble survenir juste après un échec, qu’il soit affectif, professionnel, ou même spirituel. L’échec entraîne bien souvent un bouleversement intérieur incitant à un changement. les événements-signesMême si mon appel demeure flou, si je me donne la peine de regarder, il y a beaucoup des signes et d’événements qui peuvent me guider dans mon choix d’une vocation ne vient pas d’un seul coup ou du moins rarement. Il faut laisser la grâce de Dieu nous habiter et grandir en nous. Dieu prépare le terrain depuis fort longtemps. Rencontre entre désirs et événementsUn appel se situe toujours dans le désir qui nous habite. Dieu s’il veut quelque chose, le mettra déjà dans notre cœur et si on regarde bien il y a des événements et des signes que nous avons vécus ou que nous sommes en train de vivre. L’équilibre psycho-affectifDieu n’attend pas que nous soyons guéris de tel ou tel problème pour manifester son appel. Souvent son appel vient répondre à nos besoins et sera pour nous source de guérison dans le temps. Relativiser l’apport charismatiqueLes charismes peuvent être utiles dans un discernement de vocation, mais ils ne sont jamais déterminants dans notre choix de prophétie, une parole de connaissance reçues ne pourront que confirmer une intuition intérieure déjà présente. Elles peuvent parfois nous éclairer davantage ou bien nous apporter certaine lumière qui nous manquait, donner un » coup de pouce ». Il est important de savoir que Dieu ne fait jamais de » forcing » dans notre conscience et ne viole jamais notre liberté. Un appel que l’on perçoit est destiné à faire notre bonheur, et notre sainteté. Ne pas attendre d’être prêtOn ce sens jamais prêt pour répondre à un appel ou du moins c’est rare. C’est normal. Si on se sert de cette excuse pour ne pas répondre à l’appel, on est assuré de vivre une grande tristesse intérieure. Le saut dans la foi Même lorsqu’on est convaincu de notre appel, répondre à celui-ci suppose toujours l’épreuve du saut dans la foi. Tirée du livre L’appel de Dieu discernement d’une vocation » de Phillippe Madre, édition du Lion de Juda par Manon Roussel Sept promesses -> sept mesures à prendre Dieu nous donne sept promesses pour entrer dans notre vocation. Pour les expérimenter, il y a sept démarches à entreprendre. Sept promesses Sept mesures à prendre 1. Dieu a un appel pour ta vie. Fais-Lui confiance, Il viendra te rejoindre là où tu vis en tenant compte de tes passions. Jérémie 29 11-12 2. Dieu t’appelle par ton nom, Il veut collaborer avec toi et t’impliquer dans son œuvre libératrice. Fais-Lui confiance en mettant ta vie à Sa disposition sans conditions. 1 Corinthiens 1 30 3. Dieu te connais, Il veut te révéler qui tu es vraiment et comment Il est présent dans ta vie. Fais-Lui confiance, Il sera toujours avec toi et près de toi. Psaume 139 4. Dieu a un message unique et libérateur pour toi qu’Il souhaite que tu proclames au travers de tes paroles et actes. Fais-Lui confiance, Il te guidera, dans ce que tu diras à tes proches et comment tu le feras. Romains 8 1-3 5. Dieu t’as donné des dons et des ressources afin que ton engagement soit empreint de puissance et d’autorité spirituelle. Prie pour recevoir la direction du Saint-Esprit ; investis tes compétences avec confiance. Jean 14 12-13 & Éphésiens 1 21 6. Tes faiblesses, tes manques et tes handicaps, ne sont pas un problème pour Dieu. Fais-lui confiance, Il peut même les utiliser pour Se glorifier. Romains 8 26-30 7. Dieu ne te laisse jamais seul ; Il comble tes besoins et manques au travers d’autres personnes. Fais Lui confiance, permet aux autres de t’aider et donne un coup de main à ceux qui ont besoin de toi. Ésaïe 41 13 Ceci n’est que le résumé d’un article plus long 7 étapes pour répondre à l’appel de Dieu pour ma vie Télécharge la page des 7 points d’appel Si tu as des questions ou si tu veux nous donner ton avis, clique sur l’enveloppe

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